Bordeaux comme vous ne l’avez jamais vu !
photo La Mémoire de Bordeaux Métropole
LES QUAIS EN 1890
Nous sommes ici près du Pont de pierre, au niveau du quai de Bourgogne. Les gabarres, véritables “camions du fleuve”, sont chargées de productions agricoles. Leur passage sous les arches du pont sont facilités grâce à leurs mâts repliables.
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LE JARDIN DE LA GARONNE
À partir de 1999, la rénovation menée par le paysagiste-urbaniste Michel Corajoud (1937-2014) se déploie sur dix ans et sur l’ensemble des quais, soit 4,5 km !
photo : Rémy Martineau / le jardin des Lumières
QUAI DE LA DOUANE EN 1948
Grues et cargos en partance sont les signes d’une activité portuaire développée. On devine l’entrée du vaste hangar construit en sous-sol pour ne pas gêner la perspective vers la Place de la Bourse.
Sur la route, des passants attendent le tramway que Jacques Chaban-Delmas désinstalle en 1958, le jugeant trop obsolète !
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LE MIROIR D’EAU
Il existe toujours aujourd’hui un hangar souterrain, il abrite la machinerie du miroir d’eau ! Celui ci a été imaginé en 2 000 par Michel Courajoud.
Depuis, les quais reçoivent des événements comme la Fête du Fleuve et ses grands voiliers. Le miroir d’eau est un des endroits les plus visités et les plus populaires.
photo : Sylvain François
DES QUAIS DÉSERTS…
1991… au niveau du quai de Bacalan… pas un bruit. Les rails ne sont plus utilisés, et les hangars des années 20 n’abritent plus l’effervescence du port marchand qui s’est déplacé depuis 1986 vers Bassens.
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…AUX HANGARS TENDANCE !
C’est au début des années 2000 que l’architecte Claude Marty réhabilite les hangars 15 à 19. Il conserve leur style d’origine en les mixant aux besoins d’aujourd’hui notamment en créant des parkings sur les toits.
La promenade urbaine a remplacé les rails obsolètes, et les façades maintenant ocres font écho aux couleurs de la pierre Bordelaise.
Office de Tourisme et des Congrès de Bordeaux Métropole
LA RIVE DROITE
Pendant de longues décennies, cette partie de Bordeaux n’est pas occupée. On y trouve seulement des faubourgs industriels, avec leurs berges sauvages.
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LA VILLE VERTE
La rive droite est aujourd’hui connue pour présenter des espaces verts bien plus nombreux. Le jardin botanique ou le Parc aux Angéliques viennent magnifier un espace autrefois déserté.
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